Colloque Harry Potter à Nice

Un nouveau post qui a deux rôles principaux :
- me prouver à moi même que ce projet de blog est un peu plus qu'un projet (regardez il est vivant, il bouge tous les six mois!!!)
- expérimenter les chances de me retrouver dans google.

Ce colloque (Harry Potter le crise dans le miroir)
était le premier auquel je participais, j'en fais un récit assez complet pour tous ceux que ça intéresse.(site du colloque:http://www.iufm.unice.fr/colloqueHarryPotter/index.html)

Je suis arrivé en me dépêchant à 8h ,puisque le programme précisait que l'accueil des participants se faisait à 7h45 puisque le colloque débutait à 8h15. J'aurais aussi bien pu arriver à 8h10, car en fait l'accueil consistait en la remise d'un programme accompagné d'un document regroupant les résumés de chaque intervention, d'un bloc note et d'un badge ; et d'un stylo aux couleurs de l'université de Nice (j'ai failli oublier le stylo!).
Le colloque a été ouvert par les interventions de pontes de l'université et de l'IUFM, ce qui était sans grand intérêt puis ont commencé les interventions.
Je ne vous ferai pas un résumé de toutes les interventions, je vous ferai dans une prochaine note un commentaire de celles que je juge dignes d'être commentées.

En ce qui concerne ma propre intervention :

j'étais impressionné par la mise en scène : la salle, le président de Jury, le micro, mais aussi par le fait que le public était en majeure partie composé de professeurs d'université.

J'avoue ne pas vraiment me rappeler de ce que j'ai dit sinon, que je me suis rendu compte à un moment que j'allais répéter ce que j'avais dit et que j'ai réussi à éviter la redite.

J'ai été trop long, près de huit minutes de trop, ce dont je ne me suis pas vraiment rendu compte jusqu'à ce que je vois que la présidente du colloque qui était au premier rang me faisait les gros yeux.

Les questions se sont bien passés, j'ai particulièrement du répondre aux questions de N. Baglioli la susdite présidente, et de Béatrice Bomel-Rainelli. Leurs questions étaient très pertinentes, et m'ont permis de développer des points que je n'avais pas eu le temps de préciser lors de ma communication : les mises en scène de la littérature dans Harry Potter entre autres.

Juste après les questions, Mme Bomel-Rainelli est venue me voir pour me dire qu'elle avait particulièrement apprécié mon propos. Ce qui m'a bien sûr fait véritablement plaisir.

Ce que j'ai préféré, ce sont les repas et les pauses. J'y ai rencontré des gens passionnés et passionnants.

Un merci tout particulier à Mickael Devaux, spécialiste de Tolkien qui m'a conseillé de nombreux ouvrages et m'a appris de nombreuses choses sur cet auteur fondamental de la fantasy

et à Sébastien François dont la vision sociologique du phénomène Harry Potter et des fans était originale et stimulante.